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Convention collective nationale des entreprises artistiques et culturelles 
 
 
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TITRE VI

 

Convention collective nationale des entreprises artistiques et culturelles
 
 
TITRE VI - Organisation et durée du travail
 
 
Article VI.1 - Durée du travail 
Article VI.2 - Définition du temps de travail effectif 
Article VI.3 - Périodes de référence de la modulation 
Article VI.4 - Durée maximale hebdomadaire 
Article VI.5 - Organisation du travail hebdomadaire et repos hebdomadaire 
Article VI.6 - Durée quotidienne de travail 
Article VI.7 - Repos quotidien 
Article VI.8 - Heures effectuées dans le cadre de la modulation 
Article VI.9 - Heures effectuées au-delà de l'horaire hebdomadaire moyen 
Article VI.10 - Dispositions relatives aux salariés quittant l'entreprise 
Article VI.11 - Dispositifs de contrôle de la modulation 
Article VI.12 - Repos compensateur de remplacement 
Article VI.13 - Mise en place d'un compte épargne temps 
Art. VI.13 a - Bénéficiaires 
Art. VI.13 b - Alimentation du compte 
Art.VI.13 c - Tenue du compte 
Art.VI.13 d - Utilisation du CET 
Art. VI.13 e - Rémunération du congé 
Art. VI.13 f - Cessation et transmission du compte 
Art. VI.13 g - Aménagement du compte épargne temps 
Article VI.14 - Conditions de recours au chômage partiel 
Article VI.15 - Mesures applicables aux cadres 
 
TITRE VI - Organisation et durée du travail
 
Préambule 
Les parties signataires de la présente convention collective, dans le cadre de la poursuite du dialogue constructif entamé par les partenaires sociaux après la signature de l'avenant du 17 juillet 1997 relatif aux titres I à IV de la convention collective nationale étendue des entreprises artistiques et culturelles, s'engagent à signer l'accord de " méthode " pour assurer l'aménagement et le suivi des dispositions relatives à l'organisation et à la réduction du temps de travail au sein des entreprises de la branche, qu'elles soient ou non pourvues de délégués syndicaux, et définis ci-après : 
 
Article VI.1 : Durée du travail
 
Les entreprises entrant dans le champ d'application tel que défini à l'article I.1 de la présente convention, en application de la loi d'orientation et d'incitation relative à la réduction du temps de travail du 13 juin 1998, devront appliquer une réduction de la durée hebdomadaire du temps de travail à 35 heures, à compter du premier jour du mois qui suivra la parution au Journal officiel de l'arrêté ministériel d'extension. 
En corollaire de cette réduction, les partenaires sociaux reconnaissent la nécessité d'organiser l'aménagement du temps de travail et d'adapter à cet effet la convention collective, notamment en matière de rémunération, à la nouvelle durée du travail et les modalités de répartition d'aménagement des horaires qui lui sont nécessairement associées. Cela suppose que les dispositions relatives à la durée du temps de travail figurant dans la convention collective nationale des entreprises artistiques et culturelles du 1er janvier 1984, étendue par arrêté du 4 janvier 1994, soient remplacées par les nouvelles dispositions figurant aux titres VI, X et XI. 
Afin de mieux concilier les impératifs de l'activité, d'adapter le fonctionnement des entreprises artistiques et culturelles tout en respectant les rythmes de travail spécifiques liés à l'accueil et à la création du spectacle et d'améliorer les conditions de travail des salariés dans le respect de la vie personnelle et familiale, la présente convention permet aux entreprises relevant de son champ d'application, d'aménager la modulation du temps de travail prévue à l'article L 212-2-1 du code du travail. 
Cette modulation dont les modalités seront développées dans les articles VI. 3 et suivants du présent titre ne concerne que les salariés rémunérés sur une base mensuelle. 
Les parties signataires attirent l'attention sur le fait que la mise en place de la modulation accompagnant la réduction du temps de travail, ne doit pas être interprétée comme une incitation à adopter systématiquement l'amplitude maximale de l'horaire définie ci-après, mais considérée comme un élément de souplesse qu'il convient d'utiliser avec discernement en fonction de l'activité de l'entreprise. 
Les parties incitent les entreprises à aménager par accord d'entreprise les modalités d'application du présent accord, en ayant pour objectif le maintien ou l'augmentation de l'emploi dans les entreprises. 
Afin d'améliorer les conditions de travail des salariés dans le respect de leur vie personnelle et familiale, les parties signataires de la présente convention invitent les entreprises à aménager, par voie d'accord collectif, des modalités qui permettent notamment d'éviter l'éparpillement des périodes de travail (par exemple en garantissant la continuité de l'activité de chaque salarié). 
Le principe du recours à la modulation du temps de travail peut être adopté pour l'ensemble des salariés d'une même entreprise, mais il peut être réservé à un ou plusieurs services. 
 
Article VI.2 : Définition du temps de travail effectif
 
La durée du travail effectif est le temps pendant lequel le salarié est à la disposition de l'employeur et doit se conformer à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles. 
A défaut d'usages et/ou de conventions collectives, déjà existants dans les entreprises entrant dans le champ d'application de la présente convention, les périodes visées notamment par l'article L 212-4 alinéa 2 du code du travail, la circulaire n° 97-343 du 2 juin 1997 sont exclues du temps de travail effectif. 
 
Article VI.3 : Périodes de référence de la modulation
 
a) Pour les salariés engagés en contrat de travail à durée indéterminée 
La période de référence de la modulation s'étend sur douze mois, en principe du 1er septembre au 31 août de l'année suivante, sauf accord d'entreprise spécifique fixant des conditions de modulation dans les limites prévues à la présente convention. 
La modulation du temps de travail s'effectue sur un horaire annuel déterminé en tenant compte de la durée collective du travail dans l'entreprise diminuée des heures de congés annuels légaux et conventionnels octroyés aux salariés. Sous réserve de ce principe, l'horaire annuel normal du personnel engagé en contrat de travail à durée indéterminée à temps complet est de 1575 heures. 
L'établissement de cet horaire s'effectue de la façon suivante : 
 
365 jours par an 
- 104 jours de repos hebdomadaires 
- 25 jours de congés payés 
- 11 jours fériés par an 
= 225 jours de travail par an, soit 45 semaines (225/5), soit 1575 heures (45x35). 
b) Pour les salariés engagés en contrat de travail à durée déterminée 
La modulation du temps de travail ne peut pas s'appliquer pour les salariés sous contrat à durée déterminée de moins d'un mois. 
Pour les salariés sous contrat à durée déterminée de plus d'un mois, la durée de la période de référence de la modulation sera celle du contrat de travail. En fin de contrat, il sera effectué un solde d'heures travaillées dans les conditions fixées à l'article VI. 9.  
Les modalités pratiques de mise en place de ces dispositions, notamment pour les techniciens engagés par contrat à durée déterminée d'usage et les artistes interprètes, seront explicitées dans les titres ou annexes spécifiques. 
 
Article VI.4 : Durée maximale hebdomadaire
 
L'horaire hebdomadaire moyen de modulation est de trente-cinq heures maximum. 
La durée hebdomadaire du travail ne peut excéder 48 heures par semaine, sauf dérogations prévues par la loi et, pendant la période de référence de modulation, 44 heures en moyenne sur une période de 12 semaines consécutives. 
 
Article VI.5 : Organisation du travail hebdomadaire et repos hebdomadaire
 
La " semaine civile " s'entend comme le temps s'écoulant entre le lundi matin 0h et le dimanche soir 24 h. 
a) Sur l'organisation hebdomadaire 
La durée hebdomadaire du travail effectif peut être répartie de façon inégale entre les jours de la semaine, mais elle doit permettre d'assurer à chaque salarié au minimum 35 heures de repos consécutifs. 
La semaine de travail est habituellement organisée sur une base de cinq jours consécutifs. Il ne pourra jamais y avoir plus de six jours consécutifs de travail dans la période de référence de la modulation. 
Chaque salarié est assujetti à un horaire et se verra communiquer au moins trois semaines à l'avance son emploi du temps hebdomadaire définitif. Le temps de travail ainsi planifié sera, sous réserve de l'alinéa suivant, rémunéré, mais ne sera pas considéré automatiquement comme temps de travail effectif (les périodes non travaillées au sens de l'article VI.2 du présent titre, et rémunérées pouvant être décomptées). 
Sauf circonstance exceptionnelle imprévisible indépendante de la volonté de la direction et/ou survenant du fait d'un tiers lié à l'exploitation (notamment du fait d'un cocontractant), toute modification d'horaire sera affichée 72 heures à l'avance. Le temps de travail ainsi modifié sera considéré comme du travail effectif. Le jour de repos fixé initialement par le planning défini à l'alinéa précédent ne pourra être modifié sans l'accord du salarié concerné. 
Le salarié ne devra pas effectuer plus de 20 semaines de six jours consécutifs de travail. Une réunion de contrôle de cette disposition est organisée au milieu de la " période de référence ". A l'issue de chaque " période de référence ", un bilan est effectué par l'employeur avec les représentants du personnel pour vérifier si chaque salarié n'a pas effectué plus de 20 semaines de six jours consécutifs de travail. Les accords d'entreprises détermineront les compensations éventuelles et leurs modalités, en cas de dépassement de ce seuil. 
b) Repos hebdomadaire 
Chaque salarié bénéficie d'au moins un jour de repos fixe dans la semaine. En raison de l'activité des entreprises, un salarié peut être amené à travailler le dimanche selon l'article L 221-9 du code du travail. Cependant, chaque salarié ne pourra travailler plus de vingt dimanche par " période de référence ". Les accords d'entreprises détermineront les compensations éventuelles et leurs modalités, en cas de dépassement de ce seuil. 
 
Article VI.6 : Durée quotidienne de travail
 
La durée quotidienne du travail effectif de chaque salarié ne peut excéder 10 heures. 
La durée journalière de travail effectif peut être portée à 12 heures, dans le respect des dispositions de l'article VI.4 de la présente convention, dans les cas suivants : 
- pour les salariés qui sont en tournée ou en activité de festival ; 
- pour les salariés qui participent à la production (création ou reprise) d'un spectacle : dans ce cas, cette dérogation ne pourra être effective que pour les quinze jours qui précèdent la première représentation ; 
- pour les salariés qui participent au montage et démontage du spectacle. 
Un salarié, soumis à la modulation définie au présent titre, ne peut pas être convoqué pour moins de trois heures trente minutes consécutives de travail dans la journée. 
Par dérogation, les caissiers(ères), hôtes(esses) d'accueil, contrôleurs, hôtes(esses) de salle, employés de bar, employés de nettoyage, gardiens ne pourront être convoqués pour moins de deux heures de travail dans la journée. 
 
Article VI.7 : Repos quotidien
 
Le temps de repos quotidien ne peut être inférieur à 11 heures consécutives selon les dispositions de l'article L 220-1 nouveau du code du travail. 
Toutefois, en regard de la spécificité des activités de création, de production et d'accueil de spectacles, et de la nécessité d'assurer la continuité de l'activité, le temps de repos quotidien pourra être réduit à 9 heures pour : 
- le personnel technique affecté aux répétitions, aux montages et démontages des spectacles, 
- le personnel chargé d'assurer la sécurité des personnes et des biens. 
En cas de surcroît d'activité, pour ce qui concerne les autres catégories de salariés, le temps de repos quotidien pourra être réduit, par accord d'entreprise tel que prévu à l'accord de méthode. 
Les accords d'entreprise détermineront les modalités et les seuils éventuels concernant la limitation du temps de repos, précitée. 
Chaque salarié qui verra son temps de repos quotidien réduit au minimum prévu par la loi sur demande de l'employeur, bénéficiera d'une heure récupérée non majorée, pour chaque heure non prise en repos entre la 9ème et la 11ème heure. Ces heures ne seront pas rémunérées. 
Toutefois, par exception, elles pourront être rémunérées lorsque le salarié est engagé par contrat à durée déterminée de moins d'un mois. 
 
Article VI.8 : Heures effectuées dans le cadre de la modulation
 
Les heures effectuées dans le cadre de la modulation (soit au-delà de 35 heures par semaine et en dessous de 48 heures) ne sont pas majorées, n'ouvrent pas le droit au repos compensateur et ne s'imputent pas sur le contingent légal des heures supplémentaires. 
 
Article VI.9 : Heures effectuées au-delà de l'horaire hebdomadaire moyen
 
Lorsque la durée du temps de travail constatée à l'expiration de la période de modulation, définie à l'article VI.3, excède en moyenne, sur l'ensemble de cette période, 35 heures par semaine travaillée, les heures effectuées au-dessus de 35 heures ouvrent droit aux majorations pour heures supplémentaires, ou au repos compensateur de remplacement, selon les dispositions de la législation en vigueur et de la présente convention. 
Ces heures seront comptabilisées et régularisées à la fin de la période définie à l'article VI.3 de la présente convention. 
Les parties conviennent que le contingent annuel d'heures supplémentaires prévu à l'article L 212-6 du code du travail est diminué et porté à 110 heures. 
 
Article VI.10 : Dispositions relatives aux salariés quittant l'entreprise
 
Dans le cadre de la modulation, les salariés quittant l'entreprise et n'ayant pas récupéré les heures effectuées en deçà de 35 heures en période basse, en conservent le bénéfice sauf en cas de démission, de licenciement pour faute grave ou lourde. 
Les salariés ayant accumulé un crédit d'heures effectuées au-delà de 35 heures au moment de la rupture du contrat de travail ou de la fin d'un contrat à durée déterminée reçoivent une rémunération correspondant à leurs droits acquis. 
 
Article VI.11 : Dispositifs de contrôle de la modulation
 
Les parties signataires incitent les entreprises entrant dans le champ d'application du présent accord à mettre en place des moyens effectifs et fiables de contrôle et de recueil du temps de travail, dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions du présent titre. 
Ces moyens devront permettre d'éviter qu'un salarié ait "un crédit d'heures de modulation" négatif en fin de période de référence. Si le cas se produisait, les heures effectuées en deçà de la moyenne annuelle de 35 heures demeureraient au bénéfice du salarié. 
 
Article VI.12 : Repos compensateur de remplacement
 
Il peut être mis en place un repos compensateur de remplacement du paiement des heures supplémentaires. Les modalités relatives à la prise de ce type de repos compensateur, notamment les seuils de déclenchement, seront aménagées par les accords d'entreprise tels que prévus à l'accord de "méthode" ou, en l'absence de représentation syndicale, par la direction après accord des représentants du personnel. 
 
Article VI.13 : Mise en place d'un compte épargne temps
 
Le compte épargne temps donne la possibilité au salarié d'échanger de la rémunération et/ou de capitaliser des droits à congé rémunéré conformément à l'article L 227-1 du Code du Travail, à la loi du 25 juillet 1994 et à la circulaire n°94-15 du 30 novembre 1994 du ministère du Travail. 
Pendant la prise des congés épargnés, le salarié perçoit la même rémunération que s'il avait travaillé et bénéficie des garanties du régime de prévoyance. 
 
Article VI.13 a : Bénéficiaires
 
Tout salarié sous contrat à durée indéterminée peut ouvrir un compte épargne temps dès lors qu'il bénéficie d'une ancienneté ininterrompue d'un an. 
 
Article VI.13 b Alimentation du compte
 
Dans la limite de onze jours par an, le salarié peut alimenter son compte épargne temps soit : 
 
- par le report des jours acquis dans le cadre des dispositions relatives à l'article VI.12.  
- en y portant un maximum de cinq jours de congés payés. 
 
Article VI.13 c : Tenue du compte
 
Le compte est tenu par l'employeur qui communique deux fois par an au salarié l'état de son compte. 
 
Article VI.13 d : Utilisation du CET
 
Le compte épargne temps peut être utilisé pour financer tout ou partie des congés sans solde légaux et tels que prévus à l'article IX 4. 
 
Article VI.13 e : Rémunération du congé
 
Le compte étant exprimé en jours de repos, le salarié bénéficie pendant son congé d'une rémunération calculée sur la base de son salaire de base au moment du départ, dans la limite du nombre de jours capitalisés. La rémunération est versée aux mêmes échéances et soumises aux mêmes charges sociales. 
 
Article VI.13 f : Cessation et transmission du compte
 
Si le contrat de travail est rompu avant l'utilisation du compte, le salarié perçoit une indemnité correspondant aux droits acquis après déduction des charges sociales salariales. La valeur du compte épargne temps peut être transférée de l'ancien au nouvel employeur, si ce dernier relève du champ de la présente convention, par accord écrit des trois parties. Après le transfert, la gestion du compte s'effectue conformément aux règles prévues dans la présente convention. 
 
Article VI.13 g : Aménagement du compte épargne temps
 
Les modalités d'application des dispositions du présent article peuvent être aménagées dans les entreprises par voie d'accord collectif. 
 
Article VI.14 : Conditions de recours au chômage partiel
 
L'organisation du travail doit permettre un strict respect du volume d'heures annuelles. En cas d'affectation sensible de l'activité qui diminuerait le volume d'heures prévu, due notamment à un sinistre, un cas de force majeure ou à une baisse conjoncturelle importante des subventions allouées, une demande d'indemnisation au titre du chômage partiel pourra être sollicitée par l'entreprise après consultation et information des représentants du personnel, dans les conditions prévues aux articles R 351-50 et suivants du code du travail. 
 
Article VI.15 : Mesures applicables aux cadres
 
Par principe, les cadres ne sont pas exclus de la réglementation du temps de travail et des dispositions de la présente convention. 
Cependant, dans les entreprises artistiques et culturelles entrant dans le champ d'application de la présente convention, on distingue trois catégories de cadres : 
 
1. les cadres de haut niveau hiérarchique dans la grille de classification conventionnelle qui disposent d'une latitude suffisante dans l'organisation de leur horaire, d'un niveau de responsabilité élevé, attesté notamment par l'importance de leurs fonctions et de leur rémunération, qui sont en principe exclus de la réglementation des heures supplémentaires ; 
2. les cadres dont les horaires du fait des fonctions exercées ne peuvent être précisément décomptés ; 
3. les cadres dont les horaires peuvent être décomptés et qui seront soumis intégralement aux dispositions de la présente convention concernant l'aménagement et la réduction du temps de travail. 
Au titre de la réduction du temps de travail, une demi-journée de repos supplémentaire hebdomadaire sera octroyée pour les cadres de la seconde catégorie précitée. 
Pour exemple, ces demi-journées pourront être prises en une ou plusieurs fois (toutes les semaines ou toutes les deux semaines par exemple) ou versées au compte épargne temps du salarié, mis en place dans l'entreprise. 
Les accords d'entreprise tels que prévus dans l'accord de " méthode ", détermineront l'appartenance des cadres de l'entreprise à ces différentes catégories, en fonction de l'organigramme et des fonctions effectivement exercées. Ils aménageront les modalités d'adaptation de la réduction du temps de travail aux cadres, notamment pour les cadres de la seconde catégorie précitée. 
 
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(c) Didier GOURVENNEC OGOR - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 7.01.2006